Foire aux questions

Dans un souci de transparence, la Secrétaire de l’Ordre des ingénieurs du Québec publie des réponses aux questions les plus fréquemment posées à propos des élections.

Si vous avez une question à poser, écrivez-nous : [email protected].

Mandat des membres du conseil d’administration

Les membres doivent agir avec prudence et diligence dans le cadre de la mission de l’Ordre, qui est d’assurer la protection du public. Ils doivent aussi agir avec honnêteté et loyauté, dans l’intérêt de l’Ordre (article 4 du Règlement sur les normes d’éthique et de déontologie des administrateurs du Conseil d’administration d’un ordre professionnel). Les membres doivent respecter le Règlement sur les normes d’éthique et de déontologie des administrateurs du Conseil d’administration d’un ordre professionnel et le Code d’éthique et de déontologie des administrateurs et des membres de comités de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

Le mandat des administratrices et des administrateurs est de trois ans.

Le nombre de mandats consécutifs à titre de membre du conseil est limité à trois.

Les membres du conseil doivent être présents aux réunions, soit environ six réunions par année, d’une durée d’une journée, tenues un jour de la semaine (en présentiel ou par visioconférence), et ils doivent être disponibles pour participer à des séances « virtuelles ». Les membres sont également appelés à siéger au sein de comités selon les besoins de l’Ordre.

Les nouveaux administrateurs et administratrices entrent en fonction à la première réunion du Conseil d’administration qui suit l’assemblée générale annuelle.

Élections

Conformément à l’article 32 de la Charte de la langue française, tout ordre professionnel doit respecter ses obligations en matière d’utilisation de la langue française avec les membres et Les candidat.e.s. L’Ordre des ingénieurs du Québec a donc mis à jour son Règlement sur les élections et toutes les communications entourant les élections au Conseil d’administration sont uniquement en français.

Seuls les membres de l’Ordre ayant leur domicile professionnel dans les Régions I et II pourront voter à l’exception de ceux qui se sont inscrits au tableau de l’Ordre après le 14 avril 2024.

Il n’y a aucun poste à pourvoir dans la Région III cette année.

La prochaine élection à la présidence se tiendra en juin 2024.

Vote électronique

Non. Seuls les membres sont habiles à voter.

Candidatures

La liste complète des critères est détaillée dans le Règlement sur les élections au conseil d’administration et l’organisation de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

Les principaux critères sont :

Seuls les membres qui sont inscrits au tableau de l’Ordre le 30 mars 2024, et qui ont leur domicile professionnel dans une des régions en élection, peuvent se porter candidate ou candidat. Si une personne candidate cesse d’avoir son domicile professionnel dans une région donnée après sa mise en candidature, l’élection se poursuit entre les autres candidates ou candidats.

Les deuxrégions en élection regroupent plusieurs régions administratives :

  • Région I (Montréal, Laval, Lanaudière, Laurentides, Montérégie) ;
  • Région II * (Bas-Saint-Laurent, Saguenay–Lac-Saint-Jean, Mauricie, Estrie, Outaouais, Abitibi-Témiscamingue, Côte-Nord, Nord-du-Québec, Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Centre-du-Québec).
    Pour 2024, les candidates ou candidats de la région II doivent avoir leur domicile professionnel dans l’un des territoires suivants : Est-du-Québec (Bas-Saint-Laurent, Côte-Nord et Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine); Estrie (Estrie) ou Mauricie-Centre-du-Québec (Mauricie et Centre-du-Québec). Notons que les territoires de l’Ouest-du-Québec et du Saguenay-Lac-St-Jean sont actuellement représentées au Conseil d’administration (art. 7 du Règlement sur les élections au Conseil d’administration et l’organisation de l’Ordre des ingénieurs du Québec)

Notez que les ingénieures et ingénieurs membres du personnel de l’Ordre, ainsi que les membres radiés ou dont le droit d’exercer des activités professionnelles est limité ou suspendu entre le 30 mars et le 29 mai 2024, ne sont pas éligibles pour l’élection en cours. Les autres conditions sont détaillées dans le Règlement sur les élections au Conseil d’administration et l’organisation de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

Le Conseil d’administration a adopté un profil de compétences pour ses membres qui indique les compétences souhaitées de tout membre du conseil d’administration. Ce document est informatif et ne constitue en aucun cas un critère d’admissibilité pour poser sa candidature.

Pour poser sa candidature, un membre de l’Ordre doit remettre son dossier, à compter du 9 avril 2024 et au plus tard le 25 avril à 16 h, à la Secrétaire de l’Ordre.

Ce dossier doit inclure :

  • le bulletin de présentation ;
  • un bref curriculum vitae (assurez-vous que vos coordonnées personnelles n’apparaissent pas à votre curriculum vitae puisque celui-ci sera publié);
  • une photo prise dans les cinq dernières années (format JPEG) ;
  • une déclaration de candidature rédigée en français et d’au plus 400 mots dans laquelle sont énoncés les objectifs en lien avec la mission de protection du public.

Pour en savoir plus sur le processus de mise en candidature, visitez la section Mise en candidature.

Non, il ne s’agit pas d’une limitation du droit d’exercer les activités professionnelles au sens du Code des professions.

Non, seuls les membres de l’Ordre peuvent se porter candidates ou candidats pour un poste au sein du conseil d’administration.

L’Ordre prend des mesures pour assurer la confidentialité des renseignements personnels qu’il recueille par un moyen technologique.  Pour obtenir plus d’information sur la façon dont nous encadrons vos renseignements personnels et sur vos droits d’accès et de rectification, consulter la Politique de confidentialité des renseignements personnels.

 

Dépenses électorales

On entend par « dépense électorale » le coût d’un bien ou d’un service utilisé pendant la période électorale par la candidate ou le candidat, ou pour son compte, pour promouvoir ou défavoriser une candidature, diffuser le programme d’une candidature ou s’y opposer, promouvoir ou désapprouver des mesures préconisées par une candidature ou un acte accompli par cette dernière, à l’exception des frais de déplacement de la candidate ou du candidat ou des dépenses assumées par l’Ordre.

Lorsque ce bien ou ce service a été reçu à titre gratuit, sa valeur marchande est considérée comme une dépense électorale. Ainsi, une contribution bénévole d’une personne qui assiste gratuitement la candidate ou le candidat pour son site Web doit se voir attribuer une valeur et être prise en compte dans le calcul des dépenses électorales.

Pour les élections 2024, les dépenses électorales ne peuvent excéder 3 000 $. La candidate ou le candidat doit assumer entièrement ses dépenses électorales.

Communications électorales

Seulement à la réception de l’accusé de réception de la Secrétaire de l’Ordre, transmis au plus tard le 30 avril 2024, attestant sa candidature à un poste d’administratrice ou d’administrateur, et ce, jusqu’à la clôture du scrutin le 29 mai 2024 à 16 h.

Oui, dans la mesure où il s’agit d’une véritable entrevue et non une « infopublicité » payée par le candidat ou la candidate (ce qui apparaît sous le vocable « contenu commandité » dans certains médias).

Oui, dans la mesure où la publicité n’est pas diffusée dans un média de masse autre qu’un média social ou un site Internet identifié à son nom.

Un média de masse est défini comme étant : « un moyen de communication destiné à diffuser auprès d’un large public de l’information de nature sonore, écrite ou visuelle ». À titre d’exemple, la presse écrite, la radio, la télévision et Internet.

Rappelons que la limite de dépenses électorales ne peut excéder 3 000 $.

Oui, pourvu que le site Internet soit identifié à son nom.

Le candidat ou la candidate peut transmettre des messages électoraux sur les médias sociaux à partir d’un compte d’utilisateur qui lui appartient et qui est identifié à son nom. Il peut s’agir de ses comptes existants ou d’un compte créé uniquement aux fins de la campagne électorale de style « (nom du candidat.e) administrateur.trice 2024 ».

Cependant, il y a une exception : les messages électoraux sur les pages des médias sociaux de l’Ordre sont interdits.

Oui, si l’adresse Internet renvoie à un site identifié à son nom ou à son compte sur un média social.

Oui.

Oui. Rien n’empêche les envois de courriels de masse. Cependant, si une personne indique ne pas vouloir recevoir de tels messages, la candidate ou le candidat doit cesser de lui en transmettre.

Par ailleurs, la candidate ou le candidat devra avoir lui-même en sa possession les adresses courriels des membres qu’ils souhaitent joindre puisque l’Ordre ne peut lui fournir de telles données.